Sur BFMTV, Mathilde Panot a livré une mise en garde surprenante, évoquant la potentielle candidature d’Emmanuel Macron en 2032. Dimanche 6 juillet, elle a souligné qu’il appartenait « au passé » et qu’il était « détesté », sans engager un débat classique. Pourtant, ses mots résonnent au-delà des clivages, illustrant un malaise profond autour de cet ancien président. Alors, cette réaction provoque une question sur l’avenir politique.
Mathilde Panot fustige Emmanuel Macron et son bilan politique
Selon le site bfmtv.com,Emmanuel Macron a adressé un appel inattendu aux « Jeunes en marche », affirmant qu’il aurait besoin d’eux dans deux ans, dans cinq ans et même dans dix ans. Car il estime que leur soutien reste essentiel pour consolider son héritage. Pourtant, ce message a surpris par son ton optimiste.
Dimanche 6 juillet, la présidente LFI-NFP à l’Assemblée nationale a commenté cette intervention. Selon elle, ces propos rappellent une tension née lors du baromètre Ipsos-CESI École d’ingénieurs pour La Tribune Dimanche de juin 2025, où la popularité du chef de l’État est tombée à 21 % historique et inquiétante pour son entourage politique.
Pour Mathilde Panot, il demeure « le président le plus autoritaire de la Ve République ». Elle rappelle aussi qu’il revient à un État où un Français sur trois se prive régulièrement d’un repas pour nourrir ses enfants, révélant une fracture sociale persistante et préoccupante pour tous.
Les jeunes revendiquent une vision radicalement ouverte et engagée
La jeunesse se montre massivement féministe et animée par des enjeux écologiques, car elle se soucie de l’avenir collectif. Selon Mathilde Panot, cette génération a voté à hauteur de moitié pour le Nouveau Front populaire en juin et en juillet dernier.
Elle insiste sur un ancrage anti-raciste et anti-capitaliste qui marque son engagement. Pour elle, ce positionnement fait écho au rejet croissant de l’autoritarisme présidentiel. Alors, cette posture influence les tendances politiques actuelles chez les plus jeunes. La participation citoyenne en ressort grandie et renouvelée.
Pour Mathilde Panot, cette ferveur illustre une rupture nette avec le passé incarné par l’Élysée. Elle affirme que les attentes sociales ne coïncident plus avec les priorités de l’exécutif. Ainsi, le fossé se creuse et la défiance progresse rapidement. Le mouvement se veut intransigeant et déterminé.
Les critiques sur Emmanuel Macron dépassent les barrières claires
Mathilde Panot rappelle que la Constitution limite à deux mandats consécutifs la possibilité de revenir en lice. Elle souligne que, légalement, Emmanuel Macron pourrait tenter sa chance en 2032. Mais elle estime que ces règles formelles ne suffisent pas à garantir l’adhésion populaire. Ce débat soulève des questions sur l’avenir démocratique.
Elle cite le baromètre politique Ipsos-CESI École d’ingénieurs pour La Tribune Dimanche de juin 2025, qui affiche 21 % d’opinions favorables. Ce pourcentage se rapproche du plus bas historique de 20 % en décembre 2018, durant le mouvement des Gilets jaunes. Selon elle, ces chiffres témoignent d’une défiance croissante.
Selon Mathilde Panot, cet état de fait renvoie à la réalité d’un Français sur trois qui se prive régulièrement d’un repas pour nourrir ses enfants. Cette situation témoigne d’une inégalité sociale marquée, critique pour une septième puissance économique mondiale.
Un regard croisé sur ce débat et ses enjeux
Aux confins de ces réactions émerge un constat : la probabilité d’un retour politique reste ténue, face à une hostilité accrue. Car le rejet d’un système jugé autoritaire et le désir de justice sociale s’affirment plus forts que jamais. Dans ce contexte, le paysage électoral se transforme, offrant des perspectives inédites pour les mouvements alternatifs et la participation citoyenne. Tout reste à écrire pour 2032.